Hausse des salaires allemands: un bon signe pour la zone euro?
L’accord signé par IG Metall le 5 février représente-t-il une rupture décisive avec la politique de modération salariale allemande ? C’est certes un pas dans la bonne direction, mais encore insuffisant pour sauver l’union monétaire.
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Dans les réflexions sur les réformes de la zone euro pour assurer la survivance de la monnaie unique, un élément est souvent passé sous silence : celui de la modération salariale allemande. C’est pourtant un point essentiel. Plusieurs études (dont on retrouvera un résumé dans cet article) ont souligné que cette modération salariale avait joué un rôle plus décisif que les réformes Hartz dans l’amélioration de la compétitivité allemande et dans la dégradation de celle de beaucoup de ses partenaires de la zone euro. L’issue de cette situation a été la crise de 2010.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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