Amériques Note de veille

Fed : la reculade d’Obama

Le président américain a dû accepter le retrait de son candidat favori pour la présidence de la Réserve fédérale. Quel que soit le vainqueur, cela ne changera pas grand-chose à la politique monétaire américaine. 

Martine Orange

La gifle est des plus symboliques. Après avoir appris que Lawrence (Larry) Summers renonçait à se présenter à la présidence de la Réserve fédérale américaine, les milieux financiers ont salué l’effacement de cet économiste, présenté comme un « faucon » : tous les marchés boursiers se sont envolés, pour atteindre leur plus haut niveau depuis cinq ans.

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