Europe

Au Portugal, les cafouillages de la justice fragilisent l’enquête visant le premier ministre démissionnaire

Une semaine après la démission du chef du gouvernement António Costa, l’enquête se concentre désormais sur des soupçons de « trafic d’influence », et non plus de « corruption ». Le ministère public a reconnu des erreurs. Des législatives anticipées sont convoquées le 10 mars.

Ludovic Lamant

La justice portugaise est sous le feu des critiques, alors que l’enquête à l’origine de la démission du chef du gouvernement António Costa le 7 novembre semble s’être en partie dégonflée.

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