Les attaques terroristes contre une base militaire indienne proche de la frontière pakistanaise et contre un consulat indien en Afghanistan marquent le grand retour de l’organisation islamiste armée Jaish-e-Mohammed sur la scène régionale. Au moment précis où les premiers ministres indien et pakistanais semblent enfin disposés à parler de l’avenir du Cachemire.
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C’est certainement le plus grand défi diplomatique auquel il est confronté depuis son arrivée à la tête de l’Inde en mai 2014. En organisant une rencontre surprise à Lahore avec son homologue pakistanais Nawaz Sharif qui fêtait ses 66 ans, le jour de Noël 2015, Narendra Modi – d’un an son cadet – était résolu à donner une nouvelle tournure au dialogue de sourds que se livrent les deux grandes puissances nucléaires d’Asie du Sud, depuis leur indépendance. Douze ans s’étaient écoulés depuis la dernière visite d’un premier ministre indien en terre pakistanaise. C’était en janvier 2004 et il s’agissait d’Atal Bihari Vajpayee, un chef de gouvernement qui, déjà à l’époque, portait les couleurs du Parti du peuple indien (BJP, droite nationaliste hindoue).
Depuis quatre mois, les fragiles équilibres d’un marché déjà tendu sont rompus. L’énergie est devenue un terrain d’affrontement entre les États-Unis et la Russie. En juin, pour la première fois de son histoire, l’Europe a plus importé de gaz américain que russe.
Avec l’irruption de l’inflation s’engage une nouvelle phase de la crise du capitalisme. Désormais, celle-ci semble totale et multidimensionnelle. En trouver l’issue sera de plus en plus complexe.
La secrétaire d’État et gynécologue Chrysoula Zacharopoulou est accusée de « viol » et de « violences » par des patientes, à la suite du professeur Daraï, qui fut son chef de service. Les gynécologues rejettent le terme de viol en cas d’examen gynécologique. Les militantes fustigent un déni des violences.
Dans son verdict condamnant le dixième homme des commandos de Paris à une peine de perpétuité incompressible, la cour d’assises spéciale souligne « son absence de réflexion réelle » et « sa volonté de ne pas trahir l’État islamique ».
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