Emergence du SARS-CoV-2: les soupçons sur les élevages d’animaux à fourrure s’accumulent
Deux articles parus le 8 janvier dans la revue Science mettent en évidence la circulation du virus dans les élevages intensifs de visons. Alors que les scientifiques sont toujours à la recherche de l’hôte intermédiaire entre la chauve-souris et l’espèce humaine, une mission de l’OMS a commencé jeudi dernier en Chine pour identifier l’origine de l’épidémie.
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Et si l’épidémie actuelle trouvait son origine dans l’élevage intensif ? Depuis l’émergence du SARS-CoV-2, de nombreux scientifiques tentent de trouver le chaînon manquant entre la chauve-souris, identifiée comme le réservoir ancestral du virus, et l’espèce humaine. Pour sauter la barrière des espèces, il est probable que le virus ait dû passer par un hôte intermédiaire, qui l’a abrité jusqu’à ce qu’un contact se fasse avec les humains. Dès le mois de février 2020, des chercheurs chinois pointaient le pangolin, et les autorités du pays interdisaient le commerce et la consommation d’animaux sauvages.
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
Le second tour des législatives a confirmé la radicale nouveauté du paysage politique français depuis 2017. La majorité relative dont Emmanuel Macron doit se contenter génère cependant une situation pleine d’inconnues.
Trois jours après avoir perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, le président de la République a tenté de minimiser son échec. Martelant que son programme devait être appliqué, il a enjoint à ses opposants de se prononcer sur leur volonté ou non de l’aider à le faire.
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
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