En Algérie, Oran se souvient des violences plus que des accords d’Évian

Soixante ans après la signature des accords qui ont mis fin à la guerre d’Algérie, le souvenir en est balancé par celui des attentats et des assassinats perpétrés par l’OAS, et le sentiment d’avoir vu le peuple algérien lésé par ces pourparlers.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Oran (Algérie).– Dans sa petite chambre d’à peine dix mètres carrés, à Aïn El-Turk, Hmida prend place sur son lit individuel, dont les draps sont défaits, puis éteint la cigarette qu’il portait à la bouche quelques secondes plus tôt. À 80 ans, cet Oranais, qui ne s’est jamais marié, vit de ce que lui ramènent la pêche et la solidarité de ses voisins.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal