Europe Reportage

En Grèce, une droite dure malmenée par les scandales joue sa réélection

Kyriákos Mitsotákis, le premier ministre de droite, vante le retour des investissements et des touristes étrangers et se positionne comme le candidat de la croissance. Parallèlement, des Grecs dénoncent une réalité économique difficile et les dérives autoritaires du pouvoir. Retour sur le bilan de la droite au pouvoir avant les législatives du 21 mai.

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Athènes (Grèce).– La formule « Stabilité, audace, en avant » fend la façade blanche du stand de la formation de droite au pouvoir, Nouvelle Démocratie, planté sur la place de la Constitution à Athènes. Malgré le slogan enthousiaste, il n’y a pas foule qui se presse, à quelques jours des élections nationales. Dimanche 21 mai, les Grecs éliront leurs 300 députés. Pour les politiques, il s’agit d’éviter la forte abstention des législatives de 2019 ou de l’été 2015 - 42 % et 43,8 % - et de courtiser une jeune génération pleine de désillusions après une décennie d’austérité.

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