Trump II, l’heure du chaos mondial

Gages idéologiques et sports de combat : Zuckerberg rejoint la « broligarchie » Maga

Longtemps, le patron de Meta a été la cible des attaques de Donald Trump. Mais, à la veille du retour de ce dernier à la Maison-Blanche, Mark Zuckerberg a prêté allégeance et donné des gages, rejoignant le « boys’ club » des patrons de la tech soutenant le prochain président des États-Unis.

François Bougon

À quelques jours de son investiture, le président élu états-unien a obtenu un ralliement de poids : le patron de Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp), Mark Zuckerberg, a rejoint la bande des Peter Thiel et Elon Musk, cette cohorte de patrons de la tech soutenant Donald Trump et qualifiée de « broligarchie », l’oligarchie des « bros », les potes misogynes de la Silicon Valley si bien décrits dans le livre d’Emily Chang, publié en 2018, Brotopia: Breaking Up the Boys’ Club of Silicon Valley (« Brotopia : briser le boys’ club de la Silicon Valley », non traduit).

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