En Allemagne, «l’union de la gauche est plus que jamais possible»

L’arrivée de Martin Schulz à la tête du SPD a déclenché outre-Rhin un enthousiasme inattendu. Engagée dans la définition d’un nouveau projet de gauche pour l’Allemagne, la députée Andrea Ypsilanti fait le point pour Mediapart sur le rassemblement rouge-rouge-vert en construction et ses chances de succès.

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Berlin (Allemagne), de notre correspondant.-  Après avoir été nommé tête de liste sociale-démocrate contre Angela Merkel pour les élections législatives du 24 septembre 2017, Martin Schulz est élu ce dimanche 19 mars à la tête du SPD, en remplacement de Sigmar Gabriel. À gauche, la candidature de Schulz a déclenché une vague d’enthousiasme dont l’ampleur inattendue se maintient. Ce, au point que les partis de gauche allemands, le SPD, Die Linke et Die Grünen, commencent à envisager sérieusement la constitution d’un gouvernement d’union, c’est-à-dire une coalition baptisée « rouge-rouge-verte » ou encore « R2G », du nom des couleurs de ces trois partis (« rot-rot-grün »).

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