« La droite fasciste n’a jamais disparu de la société italienne »

L’historienne Stéfanie Prezioso explique ce qui a rendu probable l’accès d’une post-fasciste à la tête du gouvernement italien. De Berlusconi en « docteur Frankenstein » au confusionnisme propagé par le Mouvement Cinq Étoiles, en passant par le drame des gauches, elle revient sur plusieurs décennies qui ont préparé le pire.

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L’Italie vote le 25 septembre, et la coalition électorale des droites est déjà annoncée gagnante. Fait nouveau, la force dominante de cet attelage pourrait bien être Fratelli d’Italia (« Frères d’Italie »), le parti post-fasciste de Giorgia Meloni, dont les chances de devenir cheffe de gouvernement seraient alors réelles.

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