Berlin (Allemagne).– L’amendement de la loi de protection contre les infections (Infektionsschutzgesetz), voté mercredi 18 novembre à une très large majorité en procédure d’urgence par les deux chambres du Parlement allemand, et signé le soir même par le président de la République fédérale Frank-Walter Steinmeier, est-il synonyme d’un affaiblissement de la démocratie parlementaire allemande ou au contraire de son renforcement ? C’est autour de cette question que s’est articulée la journée politique d’hier, houleuse et émotionnelle.
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