Il est toujours difficile d'être homosexuel en Inde en 2015
Le 11 décembre 2013, la Cour suprême de Delhi a réintroduit dans le Code pénal le délit de rapport sexuel « contre nature ». Deux ans après, les associations LGBT témoignent : les agressions contre les homosexuels se multiplient et la prévention contre le sida est devenue un enfer.
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De notre correspondant à Bombay (Inde). - Vikram habite une petite ville du Madhya Pradesh, un État du centre de l'Inde où, comme dans beaucoup d'endroits, il n'est pas simple de vivre son homosexualité. Quand il fait une touche sur Internet, le jeune homme prépare sa valise et prend le train pour Bombay, car c'est là que les rencontres se concluent le plus souvent. Le trajet dure seize heures. Une fois arrivé dans la capitale économique du pays, il s'installe dans un hôtel confortable pour trois ou quatre jours et prend ses rendez-vous, dans des bars ou dans des parcs. Vikram a 31 ans, il est ingénieur dans une compagnie de transport maritime. Un emploi qui a l'avantage de le faire beaucoup voyager, si bien que lorsqu'il part en escapade, ses parents et ses frères et sœurs lui fichent la paix, le croyant en train de négocier des contrats.
Depuis quatre mois, les fragiles équilibres d’un marché déjà tendu sont rompus. L’énergie est devenue un terrain d’affrontement entre les États-Unis et la Russie. En juin, pour la première fois de son histoire, l’Europe a plus importé de gaz américain que russe.
Avec l’irruption de l’inflation s’engage une nouvelle phase de la crise du capitalisme. Désormais, celle-ci semble totale et multidimensionnelle. En trouver l’issue sera de plus en plus complexe.
La secrétaire d’État et gynécologue Chrysoula Zacharopoulou est accusée de « viol » et de « violences » par des patientes, à la suite du professeur Daraï, qui fut son chef de service. Les gynécologues rejettent le terme de viol en cas d’examen gynécologique. Les militantes fustigent un déni des violences.
Dans son verdict condamnant le dixième homme des commandos de Paris à une peine de perpétuité incompressible, la cour d’assises spéciale souligne « son absence de réflexion réelle » et « sa volonté de ne pas trahir l’État islamique ».
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