Le coup d’État au Niger Parti pris

Niger : Macron l’intransigeant a tout faux

La porte entrouverte à la diplomatie par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest, après des semaines de déclarations menaçantes, et les dispositions au dialogue affichées par les États-Unis placent le président français dans une situation intenable. 

René Backmann

Trois semaines après le coup d’État militaire qui a renversé le président du Niger, Mohamed Bazoum, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) menace toujours les généraux putschistes nigériens d’une intervention militaire. Son objectif est a priori simple : libérer le chef de l’État retenu prisonnier avec sa famille et le rétablir dans ses fonctions.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter