Emmanuel Macron et Alassane Ouattara, président de la Côte d’Ivoire, ont annoncé samedi 21 décembre, depuis Abidjan, une « réforme historique » du franc CFA d’Afrique de l’Ouest. Mais des économistes la critiquent déjà, estimant qu’elle est incomplète et en trompe-l’œil.
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Le déplacement de deux jours d’Emmanuel Macron en Côte d’Ivoire a pris tout son sens samedi 21 décembre au soir lorsqu’il a annoncé, avec son homologue Alassane Ouattara, une « réforme » du franc CFA, prenant par surprise les citoyens des 14 pays utilisant cette monnaie. Le sujet ne figurait pas sur le programme officiel de sa visite, consacrée à une rencontre à la base militaire française d’Abidjan, la signature de contrats et d’accords divers, la pose de la première pierre du « grand marché » de Bouaké (Centre), etc. Contrairement à leurs consœurs africaines, les grandes rédactions parisiennes avaient été cependant mises au courant à l’avance de ce que dirait le président français lors de sa conférence de presse avec Alassane Ouattara, et avaient donc compris que le franc CFA était le principal objet de sa venue en Côte d’Ivoire.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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