En visite à Jérusalem, le président de la République s’est livré à une mise en scène de lui-même, suivant la méthode qu’il applique sur la scène internationale depuis le début de son quinquennat : faire des « coups ».
Jérusalem, envoyée spéciale.– C’est l’image que tous les médias ont retenue. C’est l’image qu’Emmanuel Macron souhaitait qu’ils retiennent. Mercredi 22 janvier, au premier jour de sa visite à Jérusalem, le président de la République s’est agacé contre les services de sécurité israéliens qui souhaitaient pénétrer avec lui dans le domaine national de Sainte-Anne, propriété de la France sise en plein cœur de la Vieille ville.