En Nouvelle-Zélande, la haine misogyne a poussé Jacinda Ardern vers la sortie

La haine contre la première ministre néo-zélandaise, qui sera remplacée, mercredi 25, par le ministre de l’éducation, s’est amplifiée ces deux dernières années. Les leçons que l’on peut tirer de cette démission surprise ne concernent pas que la Nouvelle-Zélande.

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La nouvelle de sa démission, le 19 janvier, a surpris le monde entier. Pour de nombreux progressistes, Jacinda Ardern, 42 ans, première ministre néo-zélandaise depuis cinq ans et demi, était devenue un symbole. Elle avait démontré qu’il était possible de gouverner autrement, en déployant humanité et bienveillance, bénéficiant même d’une vague de soutien à l’international, la « Jacindamania ».

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