Le Caire (Égypte).– À l’approche du 25 janvier, date anniversaire du soulèvement de la place Tahrir qui aboutit à la chute du dictateur Hosni Moubarak le 11 février 2011, des renforts d’agents de sécurité quadrillent la place Tahrir et fouillent les appartements alentour. Dans le centre de la capitale égyptienne, les sirènes stridentes des patrouilles de police perturbent le ronron habituel des klaxons. Alertés par de nouvelles vagues d’arrestations préventives, des jeunes évitent de traverser l’ancien épicentre révolutionnaire.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous