En mars 2004, j’ai passé un week-end avec John le Carré dans les Cornouailles où il vient de mourir à 89 ans. Les éditions du Seuil s’apprêtaient à publier son dix-neuvième roman, Une amitié absolue (Absolute Friends), et je voulais l’interroger sur la genèse de ce livre dont l’action couvrait près de quarante ans, depuis les manifestations étudiantes de Berlin, à la fin des années 1960, jusqu’à l’irruption du fanatisme islamique dans l’Occident de l’après-guerre froide.
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