Peu soucieux de l'éventuelle réunification palestinienne, Israël s’inquiète en revanche de l’essor que prend le mouvement international de boycott et de désinvestissement qui frappe son économie. Pour bien des Palestiniens, ce boycott constitue l'ultime carte, quand toutes les autres options ont échoué.
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UnUn accord est intervenu dans la nuit du mardi 22 au mercredi 23 avril lors d'une réunion à Gaza entre une délégation de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) et des dirigeants du Hamas « pour former un gouvernement d'union nationale d'ici cinq semaines », a déclaré un membre de la mission de l'OLP. Composé de technocrates, ce gouvernement permettrait d'en finir avec la division du pouvoir palestinien, effective depuis la victoire du Hamas aux élections de 2006 à Gaza.