Arrêté au Maroc, un militant ouïghour craint d’être expulsé vers la Chine
Yidiresi Aishan, un informaticien de 33 ans, a été arrêté à Casablanca en juillet, sur la base d’une notice rouge d’Interpol annulée un mois plus tard. Les organisations de défense des droits de l’homme redoutent son extradition.
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Yidiresi Aishan, un militant ouïghour vivant en Turquie depuis une dizaine d’années, ne se sentait plus en sécurité à Istanbul. Cet informaticien de 33 ans y avait certes trouvé refuge avec sa famille en raison des discriminations dont il est l’objet en Chine. Mais cela ne l’avait pas empêché d’être détenu à plusieurs reprises à la demande de Pékin, qui le présente – à tort, s’insurge-t-il – comme un terroriste appartenant à l’organisation ETIM (Mouvement islamique du Turkestan oriental).
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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