La reprise, depuis 2015, des relations entre les meilleurs ennemis peut-elle être remise en cause par la mort de Fidel Castro et l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche ? Même si le contexte reste à la normalisation, le moindre faux pas pourrait les faire basculer.
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Parmi les nombreuses promesses que Barack Obama avait faites lors de son accession à la Maison Blanche en janvier 2009, l’une des rares à avoir été à peu près respectées fut le rapprochement des États-Unis avec Cuba. Certes, l’embargo et l’appareil législatif qui l’encadre sont toujours en vigueur, mais le président américain s’est efforcé d’en diminuer la portée et de faire sauter un certain nombre de verrous. Les négociations entre La Havane et Washington de 2013 à 2014 furent une opération secrète, mais relativement rapide et aisée (elles ont été racontées récemment en détail dans le magazine The New Yorker).
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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