Port-au-Prince, de notre envoyé spécial.– On ne se promène plus à Port-au-Prince, une ville qui fut décrite comme la plus belle des Caraïbes. On se presse d’un point à un autre, dans un jeu de hasard dont aucun paramètre n’est maîtrisable. Le moment peut être sympathique, agréable parfois. Il peut aussi être terrible pour ses habitants tous soumis à un chaos général et à une insécurité qui n’épargne, selon les jours et les heures, que quelques quartiers de cette métropole de plus de 2,5 millions d’habitants.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous