Au Pérou, l’embrasement Note de veille

Au Pérou, la police a tué des manifestants pour affaiblir la contestation, dénonce Amnesty

Durant la contestation sociale qui a embrasé le Pérou en début d’année, 49 manifestants sont morts dans des heurts avec les forces de l’ordre. Un rapport d’Amnesty International dénonce le caractère « délibéré et coordonné » de la répression et le « racisme structurel » des institutions péruviennes.

Ludovic Lamant

Au plus dur du mouvement social qui s’est emparé du Pérou en début d’année, la présidente Dina Boluarte avait défendu sans ciller la conduite des forces de l’ordre. L’ancienne avocate de 60 ans était allée jusqu’à la qualifier, le 24 janvier dernier, d’« immaculée ».

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