Afrique(s) Reportage

En Tunisie, le « coup constitutionnel » est salué par une population qui reste vigilante

Les mesures décidées par le président de la République Kaïs Saïed dimanche 25 juillet, parmi lesquelles le limogeage du chef du gouvernement et la suspension des activités du Parlement, font suite à une crise politique qui dure depuis de longs mois en Tunisie. Si beaucoup de Tunisiens ont acclamé ce coup de maître, tout le monde craint aussi la concentration des pouvoirs aux mains d’un seul.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Tunis (Tunisie).– « À bas le système ! », « Ghannouchi dégage ! » Devant le Parlement tunisien lundi 26 juillet, les slogans visent le parti islamo-conservateur Ennahda. Le chef du parti et aussi président de l’Assemblée a tenté dimanche d’entrer au Parlement, barricadé par l’armée, et il a entamé un sit-in avec ses militants devant les grilles, tandis que de l’autre côté des barrages policiers, des centaines de personnes ont afflué pour soutenir les décisions du président de la République et manifester contre le parti Ennahda.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA