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David Cameron en mauvais joueur tenace

Dans Le Nouvel Observateur, un journaliste chevronné de l'hebdomadaire, Jean-Gabriel Fredet, qui fut, au siècle dernier, conseiller pour la presse de Laurent Fabius, alors premier ministre, taille un costard digne de Savile Row à l'actuel locataire du 10 Downing Street…

La rédaction de Mediapart

« J’ai dit aux dirigeants européens qu’ils pourraient le regretter toute leur vie… » Jusqu’au bout, David Cameron aura manifesté son opposition à la désignation de Jean-Claude Juncker à la présidence de la commission européenne. Jusqu’au bout, il aura dénoncé « la mauvaise personne », élue  – au suffrage indirect – par le mauvais collège (le Parlement européen), alors que le successeur de Manuel Barroso aurait dû, selon lui, être porté au pouvoir par le « collectif » des 28 chefs d’État et de gouvernement.

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