Istanbul (Turquie).– Début 2011, à la veille du déclenchement des manifestations contre le régime du président Bachar al-Assad, la Syrie est un peu la maison témoin de la nouvelle politique étrangère turque, installée pas à pas par le Parti de la justice et du développement (AKP) de Recep Tayyip Erdogan, depuis son arrivée au pouvoir, huit ans plus tôt.
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