Afrique(s)

Au Soudan, le viol comme arme de guerre

Deux organisations de défense des droits humains accusent les belligérants soudanais d’utiliser le viol pour terroriser la société, dans la capitale Khartoum et dans d’autres régions du pays, alors que les armes continuent d’affluer dans le pays.

Gwenaelle Lenoir

« Khartoum n’est pas sûre pour les femmes », c’est le titre du rapport publié le 29 juillet par l’organisation de défense des droits humains Human Rights Watch (HRW). Comme l’indique le sous-titre, « Violence sexuelle contre les femmes et les filles dans la capitale soudanaise », il se concentre sur les trois villes qui composent la métropole, Khartoum, Omdourman et Bahri.

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