Ils étaient une centaine de Vénézuéliens à suivre le cortège funèbre de Fernando Albán, le 10 octobre. « Assassins ! », « Nous exigeons la justice ! », pouvait-on lire sur les pancartes. Le gouvernement explique que le conseiller municipal du parti d'opposition Primero Justicia (PJ) s'est suicidé deux jours auparavant en se lançant du 10e étage du siège des services de renseignement vénézuéliens (Sebin), en plein centre de la capitale Caracas. Mais, pour l'opposition, il a été tué « par le régime ».
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