Amériques

L’économie selon Kamala Harris : « pragmatique » mais au second plan

La vice-présidente n’a pas fait de l’économie le cœur de sa campagne, malgré les préoccupations des électeurs. Elle a néanmoins organisé un recentrage de son programme en espérant prendre des voix modérées à Donald Trump. 

Romaric Godin

« Je suis une capitaliste. » Le 25 septembre, à Pittsburgh, dans le vieux cœur industriel de l’État clé de Pennsylvanie, Kamala Harris, vice-présidente sortante et candidate à la présidence des États-Unis, donne le ton de son programme économique. Tout est fait pour faire oublier la candidate aux primaires de 2019, qui faisait assaut de propositions de gauche. L’heure est à un autre profil.

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