« J’avais peur qu’ils torturent ma fille » : les déserteurs de l’armée birmane racontent
Depuis le coup d’État militaire du 1er février 2021, l’armée birmane connaît une vague de désertions. Des soldats en fuite, avec femme et enfants, racontent la difficulté de se soustraire à l’emprise d’une junte qui contrôle et menace leurs familles.
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L’arméeL’armée birmane lui a tout donné. Avant d’être enrôlé dans la marine, Aung Myo Thant dormait sur les bancs de la gare de Rangoun, sans un sou en poche. L’ancien vagabond est devenu caporal suppléant dans le Tanintharyi, une région côtière du sud-est de la Birmanie. Il a fondé une famille, eu deux filles et deux garçons. Il les voyait peu, rivé à son bureau, attendant une promotion qui ne viendra finalement jamais.
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