De notre envoyé spécial à Caracas (Venezuela). - Les portes de sortie de la crise politique et économique qui secoue le Venezuela se referment les unes après les autres. Chaque déclaration du gouvernement chaviste, chaque prise de parole de l'opposition ravive les braises encore brûlantes du conflit. Dernier épisode du bras de fer : la marche de l'opposition qui a eu lieu mercredi 25 mai. L'opposant Henrique Capriles maintient la manifestation, alors que la seconde cour des contentieux administratifs a interdit les rassemblements aux abords du Conseil national électoral (CNE). Le gouverneur de l'État de Miranda compte faire une nouvelle fois pression sur ce conseil pour qu'il accélère la validation des signatures qui permettraient de « solliciter » un référendum révocatoire à l'encontre du président socialiste en place, Nicolas Maduro.
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