Somaliland, envoyé spécial.- Il a suffi de s’approcher du MIG planté au cœur de la capitale, le nez au ciel, pour que le vieil homme offre un concentré d’histoire, cerné par les curieux et les oisifs. « Je n’oublierai jamais le bombardement. Hargeisa a été rasée. Les bâtiments que vous voyez, là et là, ça n’existait pas. Après, nous nous sommes séparés de la Somalie et nous avons tout réparé. Nous ne pourrons jamais être réunifiés. »
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