Extrême droite

« C’est Nicolas qui paie » : quand le racisme rencontre la haine de l’impôt

L’extrême droite libertarienne française s’appuie actuellement sur la formule « c’est Nicolas qui paie » pour pourfendre le consentement à l’impôt et le modèle social français, tout en avançant des idées xénophobes. Un cocktail nauséabond.

Youmni Kezzouf et Mathias Thépot

Il souffle un fort vent de poujadisme dans les rangs de l’extrême droite française. Ce courant populiste bourgeois des années 1950 – auquel le fondateur du Front national (FN) Jean-Marie Le Pen a d’abord adhéré – s’était créé en défense du petit patron français, cumulant xénophobie, haine de l’impôt et plus globalement de toute intervention de l’État.

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