Dans la rue, le combat contre l’extrême droite est marginal

En avril 2002, la possibilité de l’extrême droite au pouvoir révoltait une partie de la population au point de la faire massivement manifester. Aujourd’hui, deux candidats issus de cette filiation politique sont en lice, mais la mobilisation organisée dimanche à Paris est restée bien modeste.

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Il y a vingt ans, l’extrême droite arrivait pour la première fois au second tour d’une élection présidentielle. Le 1er mai suivant, une marée humaine déferlait sur Paris et sur les grandes places des villes de France pour dire « Non » au Front national, comme le titrait le journal Libération. « Tout le monde était là, les voisins, les gens pas spécialement militants. Il avait fallu attendre des heures pour quitter République, c’était phénoménal », se souvient Benoît Martin, responsable CGT à Paris, 37 ans à l’époque.

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