Le CNR, ce « truc » du président qui cherche encore sa vocation

Lancé en septembre dernier, le Conseil national de la refondation devait révolutionner le second quinquennat d’Emmanuel Macron. Quatre mois plus tard, il a pris la forme d’une succession de réunions dont les protagonistes peinent parfois à percevoir la finalité. L’exécutif jure que des avancées en seront issues. 

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La séquence est pensée avec soin par l’entourage du président de la République. Les deux mains sur son pupitre, Emmanuel Macron lance sa grande idée du quinquennat, le Conseil national de la refondation (CNR). Derrière lui, sur un terrain de rugby à Marcoussis (Essonne), une trentaine de représentant·es des forces vives du pays avec lesquel·les il s’apprête à « passer toute la journée » du 8 septembre, insistent ses proches. Les échanges étant à huis clos, ne doit rester de la journée que l’image d’un président vantant sa « nouvelle méthode » pour « bâtir du consensus » dans le pays.

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