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«Mis à la rue», les proches de Royal structurent leur courant

Passé le temps de la contestation des résultats, puis celui du constat de leur éviction de la direction, les proches de Ségolène Royal pensent à l'après. «On nous a mis à la rue», assure Vincent Peillon. L'heure est à la structuration d'un courant tricéphale, entre Désirs d'avenir à l'extérieur du parti, une coordination entre les militants socialistes dans les fédérations et un "sous-groupe" socialiste de députés à l'Assemblée. Dans la perspective de la présidentielle de 2012.

Stéphane Alliès

La résistance interne s'organise. Alors que la nouvelle direction socialiste s'installe, les proches de Ségolène Royal pensent désormais à l'après. Après avoir abandonné l'idée de recours électoraux devant les tribunaux, ils se font à l'idée de s'organiser dans la minorité du parti.

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