Redécouvrir Blum, « l’homme des “heures chaudes” de l’Histoire »

Le philosophe Milo Lévy-Bruhl déconstruit les clichés bâtis autour de Léon Blum, tantôt vanté comme un réformiste bon teint, tantôt fustigé comme un « social-traître ». Sa pensée, qui s’inscrit dans « l’évolution révolutionnaire » prônée par Jaurès, prémunirait contre les « pathologies internes » à la gauche. 

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Depuis sa mort en 1950, après une trajectoire politique dont a surtout été retenu son rôle à la tête du Front populaire en 1936, la mémoire de Léon Blum n’a guère été cultivée par le régime républicain. À Paris, il aura fallu attendre 1985 pour qu’une statue du personnage vienne orner la place qui porte son nom, dans le XIe arrondissement.  

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