Politique

« En 2017, le rapport de force permettait que je vote blanc »

Il y a cinq ans, une partie de l’électorat de gauche refusait de voter Macron au second tour de l’élection présidentielle, en raison de profonds désaccords politiques. Cinq ans plus tard, ces abstentionnistes font le chemin retour vers les urnes, afin d’éviter le possible accident électoral en faveur de Marine Le Pen.

Mathilde Goanec

Quelques jours après le premier tour, Mediapart a donné la parole aux électeurs et électrices, ayant le plus souvent voté Jean-Luc Mélenchon au premier tour et qui s’apprêtaient à s’abstenir ou voter blanc pour le second. Dans un contexte de grande incertitude, incertitude qui perdure après le débat en demi-teinte entre Macron et Le Pen mercredi 20 avril 2022, la question des reports de voix de l’électorat de gauche reste l’une des clés du scrutin présidentiel.

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