Gauche(s) Reportage

Écologistes et quartiers populaires : toujours un manque de représentation et de considération

Au cours de leurs journées d’été, les Écologistes se sont intéressés à leur place dans les quartiers populaires. Où le parti peine toujours à convaincre, et à en faire émerger des personnalités.

Névil Gagnepain et Clément Le Foll

Tours (Indre-et-Loire).– « Quand je suis entrée ce matin, je me suis dit : OK, il n’y a pas de diversité ici », lâche Rania Daki en balayant du bras la foule de militant·es écologistes qui s’active sur l’île Honoré de Balzac, entourée par le Cher, dans le centre de Tours. La porte-parole « justice climatique » de Ghett’up, une association qui travaille en faveur de la justice sociale pour les jeunes des quartiers populaires, a accepté de se prêter au jeu des journées d’été des Écologistes et de participer à un atelier intitulé « Écologie et démocratie : réappropriation avec et par les quartiers populaires »

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