Rentrée politique : à gauche, retour à la case épars
Lors de leurs universités d’été, écologistes, socialistes et communistes ont pris acte de l’impossibilité, à ce stade, d’une liste commune aux élections européennes. Les Insoumis y poussent encore. Tous espèrent que la division en 2024 n’obérera pas l’union pour 2027.
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ChâteauneufChâteauneuf-sur-Isère (Drôme), Blois (Loir-et-Cher), Strasbourg (Bas-Rhin), Le Havre (Seine-Maritime).– Entre une signature de livre et une photo avec des militants et militantes de La France insoumise (LFI), Benoît Hamon savoure son petit coup de pied dans la fourmilière. Vendredi 25 août, l’ancien candidat socialiste à la présidentielle a dérogé à son retrait de la vie politique, juste le temps de glisser, lors d’une conférence aux Amfis d’été du mouvement mélenchoniste à Châteauneuf-sur-Isère : « Il faut créer les conditions d’une liste unique de la gauche et des écologistes aux élections européennes. L’existence d’une liste unique permet de se mettre en dynamique dans la perspective de 2027. Cet argument devrait taire toutes les polémiques. »