Le secrétaire général de l’Élysée a de nouveau refusé de se présenter devant une commission d’enquête parlementaire, cette fois-ci sur le scandale des eaux en bouteille. En tant que plus proche collaborateur d’Emmanuel Macron, il estime bénéficier d’une quasi-immunité présidentielle.
En annonçant une surenchère sur les droits de douane frappant les produits chinois, Donald Trump a modifié la nature du conflit entre les deux pays. Désormais, l’objectif est de causer le plus de dommages possible à l’autre. La Chine prépare déjà ses réponses.
Plutôt que de s’opposer frontalement à sa politique, le camp démocrate et certains pouvoirs financiers comptent sur les marchés pour arrêter Donald Trump. La débâcle financière de ces derniers jours montre que ce calcul pourrait se révéler erroné.
La rupture des relations diplomatiques avec l’ancien colonisateur, le 17 mars, est un épisode de plus dans la longue et tumultueuse histoire entre Kigali et Bruxelles.
Le « travail sur les idées » est devenu l’un des engagements les plus répandus des directions partisanes. Les multiples crises, et l’activisme de formations comme La France insoumise, incitent à des efforts en la matière. Mais des freins persistent.
Les droits douaniers états-uniens, annoncés le 2 avril, frappent tous les pays bien plus fortement que prévu. Loin de relancer le protectionnisme, cette politique est l’affirmation d’un impérialisme : chaque pays est sommé de négocier le prix et le poids de ses chaînes à l’égard des États-Unis.
Les mesures douanières annoncées mercredi 2 avril par Donald Trump imposent une réorganisation internationale dont les États-Unis, qui ont maltraité leurs alliés, ne sont pas certains de sortir gagnants. L’Union européenne, comme la Chine, doit repenser sa place dans le commerce mondial.
Après la condamnation de Marine Le Pen, qui pourrait produire une crise de leadership à l’extrême droite, des militants, chercheurs et responsables politiques veulent mettre à l’ordre du jour les modalités d’une candidature commune à gauche pour 2027. Mais le calendrier électoral et les divergences entre le PS et LFI gèlent encore ces initiatives.
Israël n’a pas seulement brisé le cessez-le-feu le 17 mars. Son gouvernement et son armée ont aussi lancé une offensive encore plus meurtrière que celles qui ont précédé la trêve. Son objectif, aujourd’hui affiché, est de saisir une partie plus grande du territoire et de faire partir les Gazaouis.
Les défaillances d’entreprises qui se sont produites en cascade en 2024 vont continuer à faire sentir leurs effets sur l’emploi en 2025. D’autant qu’elles risquent de se maintenir à un niveau élevé.