Rechercher sur Mediapart

169 résultats

Filtrer :

  • Formats

    Formats
  • Rubriques

    Rubriques
  • Journalistes

    Journalistes

Réinitialiser

  • L’Elysée a diffusé une vidéo mensongère pour tenter de disculper Benalla

    France — Lien

    Lorsque Le Monde a révélé les agissements d’Alexandre Benalla lors de la manifestation du 1er mai 2018, des conseillers d’Emmanuel Macron ont fabriqué puis diffusé une vidéo trompeuse, révèle le quotidien.

  • La recherche a évolué

    Aidez-nous à l’améliorer en répondant à quelques questions

    Répondre au questionnaire
  • Enregistrements Benalla: une expertise judiciaire exclut tout «montage»

    Justice — Enquête

    Un rapport d’enquête de la police scientifique, que révèle Mediapart, démontre que les enregistrements de l’affaire Benalla n’ont pas été montés. L’expertise « renforce l’hypothèse » selon laquelle il s’agit bien des voix d’Alexandre Benalla et Vincent Crase, et privilégie la piste d’« un enregistrement par un dictaphone ou un smartphone ». 

  • Avec l’affaire Benalla, le Sénat se rachète une vertu

    Institutions — Parti pris

    Le Sénat, vertueux « contre-pouvoir » ? Après que l’institution a saisi la justice, jeudi 21 mars, des cas d’Alexandre Benalla et de collaborateurs du chef de l’État, les sénateurs LR donneraient presque des leçons de droit et de respect de l’autorité judiciaire. S'il faut se féliciter du signalement, n'oublions rien de leurs pratiques.

  • Le garde du corps de Macron est un proche de Benalla, spécialiste de «l’effraction» et de «l’infiltration»

    France — Enquête

    L’actuel principal garde du corps d’Emmanuel Macron est un proche d’Alexandre Benalla, dont il a poussé au recrutement à l’Élysée dans des conditions dérogatoires. L’homme en question, Christian Guédon, est aussi, d’après son C.V. consulté par Mediapart, un spécialiste dans les « domaines [...] de l’effraction et de l’infiltration », ainsi que « des techniques d’ouverture discrètes des serrures de bâtiments et véhicules » à des fins judiciaires. 

  • Affaire Benalla: le Sénat ne s’est pas laissé impressionner par l’Elysée

    Parlement

    Malgré des « pressions » exercées par l’Élysée, le Sénat a décidé de transmettre à la justice les dossiers de trois proches collaborateurs d’Emmanuel Macron, suspectés de faux témoignages devant la commission d’enquête parlementaire sur l’affaire Benalla. Ce faisant, il joue à plein son rôle de contre-pouvoir et affaiblit davantage encore l’exécutif.

  • Affaires: Alexandre Djouhri adoube Alexandre Benalla

    France — Lien

    Dans sa première interview télévisée, Alexandre Djouhri, intermédiaire du financement libyen de Nicolas Sarkozy, a adoubé mardi soir Alexandre Benalla.

  • Affaire Benalla: la droite sénatoriale divisée sur le sort des trois collaborateurs de Macron

    France

    Le bureau du Sénat doit se prononcer, jeudi matin, sur la transmission à la justice des cas de parjure d’Alexandre Benalla et Vincent Crase, mais surtout de trois responsables de l’Élysée. Sur les vingt-six votants, les dix membres de la droite sénatoriale vont faire basculer la décision. De quoi alimenter les tractations.

  • Les faux documents et vrais mensonges de l’affaire Benalla

    France — Enquête

    Mediapart a pu identifier plusieurs documents produits par Alexandre Benalla sur lesquels planent des soupçons de faux, mais aussi plusieurs mensonges proférés dans le cadre professionnel par l’ancien collaborateur du président pour obtenir certains avantages.

  • Les intérêts de Benalla étaient ceux de l’Elysée, selon Ismaël Emelien

    France

    Le conseiller spécial d’Emmanuel Macron a reconnu avoir organisé la diffusion d’images visant à légitimer les violences d’Alexandre Benalla le 1er Mai. Selon Le Monde, Ismaël Emelien a déclaré à la police des polices qu’il ignorait alors la provenance des bandes, tirées ­illégalement de la vidéosurveillance de la préfecture de police de Paris.

  • Affaire Macron-Benalla: réponse à nos détracteurs

    France

    Mediapart n’est pas une officine de renseignement, mais un journal d’information. Nous n’espionnons personne ni ne posons de micros clandestins. Nous nous contentons de révéler des informations d’intérêt public dans le respect du droit de la presse. Dans l’affaire Benalla aujourd’hui, comme hier dans les affaires Bettencourt, Sarkozy-Kadhafi ou Cahuzac.