À Gaia et El Hogar, deux refuges animaliers, travailleurs, travailleuses et bénévoles soignent des animaux vulnérables jusqu’à leur mort naturelle. Ce n’est pas seulement leur amour pour les animaux qui les conduit là, mais la croyance en une relation différente avec la nature, fondée sur le respect des animaux et des ressources limitées de la planète.
Jusqu’au 28 janvier, une exposition à la bibliothèque municipale de Lyon explore les trésors du fonds Michel Chomarat, un archiviste passionné qui a collecté des dizaines de milliers d’objets et documents qui ont en commun la marginalité, des cultures LGBTQI+ aux formes culturelles populaires, souvent dévaluées. Voyage dans l’exposition avec son commissaire, Antoine Idier.
Entre 2 et 4 millions de personnes ont recours à l’aide alimentaire en France, selon l’Insee. Parallèlement aux grandes organisations, des associations locales proposent à leur échelle un appui aux personnes modestes. C’est le cas de Cœurs résistants, à Rennes, qui coordonne depuis 2020 le Village alimentaire, un lieu de distribution de nourriture où les bénévoles peuvent aussi être des bénéficiaires.
Le Maroc ne sera pas la première équipe africaine de l’histoire à atteindre la finale d’un Mondial de football, depuis sa défaite mercredi 14 décembre face à l’équipe de France. Les supporters marocains y auront cru jusqu’au bout. À la fin du match, la plupart préfèrent retenir le positif : leur sélection aura fait vibrer tout un continent au rythme de ses exploits.
La récolte des olives est une période cruciale en Cisjordanie, où les oliviers représentent près de la moitié des surfaces agricoles. 100 000 familles en dépendent et l’olivier est un symbole de la résistance et de l’identité palestinienne. Cette année, la récolte s’est déroulée dans un climat extrêmement tendu, avec une recrudescence des attaques des colons israéliens.
Face à ces attaques, des Palestiniens s’organisent pour soutenir les agriculteurs et les aider à aller sur les terres dans les zones à risque.
Elles travaillent à l’Aide sociale à l’enfance, service public méconnu qui prend en charge plus de 300 000 enfants. Leur mission consiste à mettre en œuvre les décisions des juges : trouver un foyer, organiser les droits de visite des parents, restaurer leur rôle... Chacune peut suivre jusqu’à 40 enfants. De manière anonyme, elles se confient sur leur métier, leurs attentes, leurs espoirs et leurs déceptions.
Rares sont les femmes qui osent parler à visage découvert de leur séropositivité. La stigmatisation est encore présente et les images des années sida perdurent. Vivant avec le virus depuis trois ou trente ans, leurs motivations sont les mêmes : combattre la sérophobie, agir pour que la parole se libère, aider celles qui ont peur de rester seules, être dans la vie et ne pas la lâcher. Jeunes, plus âgées, migrantes, bénévoles, patientes expertes, elles racontent leur vie et leurs espoirs.
Dans sa lutte contre la fraude aux allocations, l’État néerlandais a plongé injustement dans la misère des dizaines de milliers de familles, en majorité d’origine étrangère, qui en payent encore les conséquences. Premières victimes : les femmes, contraintes d’interrompre leurs études, leur travail, et parfois de vivre sans leurs enfants.
Dans un contexte de propagande intense et de répression sans précédent contre toute voix critique, de nombreux citoyens russes opposés à la guerre en Ukraine se sentent impuissants. Par milliers, ils tentent de combler leur désarroi en portant assistance aux Ukrainiens fuyant les bombes. Depuis début février, plus de 2,8 millions de réfugiés sont arrivés sur le sol russe. Que ceux-ci décident d’y rester ou de partir pour l’Europe, une importante communauté de bénévoles leur vient en aide dans la plus grande discrétion.