Une partie de l’extrême droite européenne est invitée à la cérémonie d’investiture de Donald Trump. La distribution des invitations trace des choix. Pour l’instant, c’est Giorgia Meloni qui semble tirer son épingle du jeu.
La conversion de tout le secteur de la technologie au trumpisme est le fruit de son modèle économique. Pour poursuivre sa logique prédatrice, il a trouvé dans l’extrême droite un débouché politique utile.
Un mois après la controverse déclenchée par la programmation du film « Le Dernier Tango à Paris », les responsables de l’institution culturelle ont livré un maigre mea culpa devant la commission d’enquête sur les violences dans le cinéma.
Un avis de l’ancien institut d’expertise sur la sûreté nucléaire, l’IRSN, au sujet d’une fuite de boues radioactives en Côte-d’Or en septembre 2024, n’a pas été rendu public, contrairement aux obligations de transparence. Mediapart en publie des extraits.
Les socialistes envisageaient dans un premier temps de ne pas censurer le gouvernement malgré l’absence de suspension de la réforme des retraites. Mais après le discours de François Bayrou et une fronde en interne, une partie du groupe a réalisé une nouvelle volte-face, rendant la situation plus illisible encore.
Les juges qui investiguent sur le rôle de McKinsey dans les campagnes présidentielles 2017 et 2022 du chef de l’État s’intéressent aussi au début de la relation entre la firme américaine et Emmanuel Macron, avant sa première élection, selon des informations de Mediapart.
La semaine écoulée a vu s’amalgamer curieusement les événements, faisant ressurgir des douleurs légitimes et des attaques effarantes, visant notamment les personnes musulmanes et la gauche. Depuis 2015, le curseur politique n’a cessé de se déplacer, brouillant tous les repères.
Depuis le 7 janvier, la mégapole est en proie à des incendies dévastateurs. Si le changement climatique a augmenté d’un quart le risque de mégafeux en Californie, le camp du président élu a préféré accuser la politique environnementale de cet État démocrate.
Alors que France Travail doit absorber de nouvelles missions depuis le 1er janvier, une expertise indépendante sur les risques psychosociaux, réalisée en Occitanie après le suicide d’un agent en 2024, livre des conclusions inquiétantes.
Déjà impopulaire, le premier ministre canadien a été poussé à la démission. La hausse possible de 25 % des tarifs douaniers sur les exportations canadiennes vers les États-Unis, annoncée fin novembre par Donald Trump, lui a été fatale.