La ministre de la culture est renvoyée en correctionnelle pour corruption et trafic d’influence. Bien qu’elle conteste toutes les mises en cause, elle est accusée d’avoir été payée 900 000 euros par Renault pour défendre les intérêts du groupe lorsqu’elle était députée européenne.
Après un processus démocratique bafoué, le succès fulgurant de la pétition contre la loi Duplomb est la démonstration que le rouleau compresseur obscurantiste ne passe pas. La santé est devenue un enjeu majeur dans la population, et il est urgent de l’entendre.
Une semaine après la conclusion du projet d’accord, le FLNKS vacille : le Palika assume sa signature, mais la colère gronde parmi les autres composantes du mouvement indépendantiste. Au sein de l’Union calédonienne, qui ne soutient pas le projet, l’idée d’un conseil de discipline a même été évoquée pour les signataires.
Le Groupe de La Haye, une coalition pour la Palestine qui réunit des pays d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie du Sud, a convoqué plus de trente pays à Bogotá pour convenir de sanctions contre Israël. En parallèle, des mobilisations citoyennes ont lieu dans la capitale colombienne.
Les critiques, nombreuses, n’ont rien changé à la conviction du premier ministre : à ses yeux, son plan d’économies est d’une ampleur historique. Reste à trouver une majorité, ce qui n’est pas une mince affaire au regard de la casse sociale annoncée. Les grandes manœuvres commencent.
Jurant que la France était en danger de mort à cause de sa dette publique, le premier ministre a annoncé 44 milliards d’euros d’économies en 2026. Le gros de ce tour de vis budgétaire viendra de la non-indexation des dépenses publiques sur l’inflation et les besoins sociaux de la population.
L’exécutif n’a pas encore décidé s’il se prononcerait, mardi 15 juillet à Bruxelles, en faveur d’une suspension de l’accord qui lie l’Union européenne à Israël. Faute d’une unanimité illusoire, des voix poussent déjà la France à agir seule et à sanctionner le gouvernement Nétanyahou.
Chargés de la prévention de la violence dans les collèges sensibles de l’académie de Lille, des personnels ont appris, du jour au lendemain, leur mutation vers d’autres établissements. Une décision jugée brutale et incohérente après les récentes attaques et violences en milieu scolaire.
Moins payées que les hommes, dix salariées du groupe franco-italien ont obtenu des rappels de salaire, en plus des dommages-intérêts, après avoir fait condamner leur employeur pour discrimination. Seul bémol à ce combat collectif : des disparités importantes d’arriérés entre cadres et techniciennes.
L’emplacement de l’autoroute d’où est parti le feu le 8 juillet et l’aménagement urbain des quartiers nord de Marseille guidé par des années de politique de classe rendent les Marseillais les plus précaires très vulnérables aux incendies.