Le mouvement paralympique est né en 1948, en Angleterre, à Stoke Mandeville, au nord-ouest de Londres, où la flamme a été rallumée le 24 août. Certains Britanniques tentent de maintenir en vie celle du handisport depuis les Jeux de 2012. Mais butent souvent sur le financement.
Ursula von der Leyen avait promis une Commission paritaire pour son second mandat à Bruxelles. Mais les capitales, dont Paris, ont ignoré son appel. À ce stade, le futur exécutif ne compte que sept femmes sur les vingt-quatre commissaires déjà connus.
Dans le sud de l’Ukraine, Melitopol est occupée et administrée par la Russie depuis 2022. Moscou y confisque des biens, remplace et terrorise la population. De nombreux habitants se résignent à prendre des passeports russes pour accéder aux services publics. Au risque d’être enrôlés.
Des frappes « massives » de missiles et drones russes ont visé les infrastructures énergétiques de l’Ukraine lundi 26 août au matin, puis une nouvelle offensive a fait au moins quatre morts mardi.
En Allemagne, en Belgique ou en Espagne, la formation d’une coalition prend de longs mois de tractations. Mais dans ces pays, des règles institutionnelles précises, associées à des coutumes politiques, ont jusqu’à présent permis d’éviter les blocages.
En décidant de tenir les territoires russes capturés, l’Ukraine va se retrouver dans la position délicate de la force occupante, sans être parvenue à contraindre la Russie à ralentir ses avancées dans le Donbass.
Depuis le 6 août, la Russie fait face à une offensive ukrainienne d’ampleur sur son territoire. Tandis que près de 130 000 habitants ont fui les combats dans la région de Koursk, le Kremlin répond par une « opération antiterroriste », évitant toujours soigneusement de parler de « guerre ».
En Thuringe, Saxe et Brandebourg, l’AfD fait la course en tête pour les régionales de septembre. Comme le parti de Sahra Wagenknecht, elle attaque l’aide militaire à l’Ukraine. Au point que Berlin envisage de geler celle-ci dès 2025. Reportage dans une Thuringe déboussolée.
Dans la France des années 1930, selon que l’on est communiste ou anticommuniste, on « croit » ou pas à la famine en Ukraine. Dans une société qui ne veut pas entendre, comment franchir le mur du déni, qu’il concerne le climat, Gaza ou la mort aux frontières ? Pistes pour aujourd’hui.
À la recherche d’un nouveau modèle énergétique, les États qui bordent la Baltique lancent des coopérations tous azimuts. Après le sabotage des gazoducs Nord Stream, l’avenir est à l’éolien offshore et à l’hydrogène. La ville allemande de Lubmin est au centre de cette effervescence.
Le 26 août 1933, Édouard Herriot entame à Odessa sa visite en Union soviétique. Alors sans mandat national, il est néanmoins reçu avec les honneurs. Moscou montre à l’ancien chef du gouvernement et à l’ambassadeur français un pays heureux et prospère. Ils n’y voient que du feu.
L’audacieuse offensive de Koursk, pour l’instant couronnée de succès, est partie de la région frontalière de Soumy. La guerre, ses soldats et ses bombardements y voisinent avec celles et ceux qui n’ont pas encore fui. La détermination est générale.
Les 365 000 km² de cette mer intérieure comptent parmi les eaux les plus polluées au monde. Quarante mille tonnes d’armes chimiques gisent dans ses profondeurs. Or la vie est déjà en danger. Les stocks de poissons se sont effondrés ces dernières décennies. Comment sauver la Baltique ?
Les premiers fauteurs de troubles sont déjà condamnés, quelques jours seulement après les violences qui ont secoué plusieurs villes britanniques à la suite de l’assassinat de trois enfants le 29 juillet. Si certains s’inquiètent de procédures expéditives, d’autres les jugent « cohérentes ».
Alors que la justice danoise a décidé jeudi 15 août de prolonger la détention du militant contre la chasse à la baleine, l’opinion publique et la France tentent de convaincre le Danemark de ne pas céder à la demande d’extradition du Japon.
À la fin de l’été 1932, Paris est informé que « les denrées manquent partout » dans la « République socialiste soviétique d’Ukraine ». En mars 1933, le « grenier à blé de la Russie », signale l’ambassadeur, connaîtrait même « des cas de cannibalisme ». En août, la famine paraît incontestable.