J’ai passé 16 ans à l’Agence France-presse, école de la rigueur et de la concision. De Paris à Pékin, en passant par Lyon, Montevideo et Pékin, j’y ai goûté au local et au global. Par la suite, pendant sept ans au journal Le Monde, j’ai apprécié les grands espaces et les lettres gothiques. Aujourd’hui à Mediapart, j’anime le pôle International avec bonheur.
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
USA: une présidentielle aux allures de guerre civile
— Note de veille
Un Afro-Américain de 29 ans, Jacob Blake, a été grièvement blessé dimanche à Kenosha, devant ses enfants, par des policiers qui lui ont tiré dans le dos à plusieurs reprises – au moins sept fois. Pour la deuxième nuit consécutive, des émeutes ont éclaté.
Chine: déconstruire la mythologie nationaliste (3/3)
— Analyse
Prise au piège du récit de la « nouvelle guerre froide » élaboré par Donald Trump, l’île de Taïwan est d’abord un « point chaud », car elle questionne le « roman national » de Xi Jinping et du Parti-État en Chine.
Chine: déconstruire la mythologie nationaliste (2/3)
— Analyse
Depuis sa décision d’intégrer, à la fin des années 1970, le système capitaliste global, le Parti communiste chinois n’a plus de communiste que le nom. Il bâtit désormais sa légitimité sur un récit nationaliste construit à la fin du XIXe siècle sous influence occidentale.
Chine: déconstruire la mythologie nationaliste (1/3)
Où l’on essaie de comprendre le roman national que Xi Jinping, le numéro un chinois, met en œuvre au service de la légitimité d’un Parti communiste bientôt centenaire. Premier volet de notre série sur la déconstruction de la mythologie nationaliste en Chine.
USA: une présidentielle aux allures de guerre civile
— Note de veille
En perte de vitesse face à son rival démocrate Joe Biden à la présidentielle de novembre, le président américain tente de criminaliser le mouvement de protestation qui a surgi après le meurtre de l’Afro-Américain George Floyd il y a près de deux mois.
USA: une présidentielle aux allures de guerre civile
— Note de veille
Les États-Unis ont annoncé la fermeture du consulat général chinois à Houston, Texas. La veille, deux hackers chinois avaient été accusés par la justice américaine d’avoir tenté récemment de s’introduire dans les systèmes informatiques d’entreprises développant des vaccins contre le Covid-19.
Joël Charbit et Gwenola Ricordeau travaillent tous deux sur le système pénal. Dans un entretien à Mediapart, ils reviennent sur l’histoire du mouvement abolitionniste, qui souhaite en finir avec la prison, les tribunaux et la police, et les effets produits par le meurtre de George Floyd.
Un peu partout dans le monde, les autorités nationales ou locales font une pause dans le processus de déconfinement en raison d’une remontée des contaminations. En Europe, cinq villes ont reconfiné tout ou partie de leur population.
À Hong Kong, la loi sur la sécurité nationale qui entend réprimer le « séparatisme », le « terrorisme », la « subversion » et la « collusion avec des forces extérieures et étrangères » est entrée en vigueur. Signifiant la fin du « un pays, deux systèmes ».
Il y a près de 60 ans, les deux géants asiatiques s’étaient affrontés. La Chine avait montré sa supériorité mais Mao avait su jusqu’où ne pas aller pour ne pas entraîner son pays dans une nouvelle confrontation avec les États-Unis.
La mort de George Floyd aux États-Unis suscite une vague internationale de soutien. Ces manifestations sont l’occasion de dénoncer les brutalités policières et la discrimination des personnes racisées.
Ce projet dévoilé lors de la session parlementaire chinoise intervient en pleine crise politique à Hong Kong. Les démocrates dénoncent une nouvelle attaque contre les libertés et le statut spécial dont bénéficie l’ex-colonie britannique.
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Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Mediapart contributor Hussam Hammoud, 30, who currently lives in Turkey, applied for what is called a “humanitarian” visa in order to travel to France and, once on French soil, to apply for asylum in the country along with his wife and two young children. But on September 5th he received a cold and impersonal email rejecting his request. Outrageous.
Notre collaborateur, Hussam Hammoud, 30 ans, qui vit actuellement en exil en Turquie, avait déposé une demande de visa dit « humanitaire » pour pouvoir faire une demande d’asile en France avec sa famille. Mais, lundi 5 septembre, il a reçu un courriel type de rejet. Une abomination.
Pedro Almodovar l’avait popularisé en l’intégrant dans son film « Attache-moi ». Ces dernières semaines, l’ancien tube du groupe Dúo Dinámico est repris sur les balcons.
La lutte contre le coronavirus 2019-nCoV bat son plein en Chine. Décrétée cause nationale, elle est l’occasion pour le Parti communiste de punir les cadres fautifs et d’exalter les héros positifs.
La Chine doit faire face à une situation de catastrophe sanitaire avec l’épidémie de coronavirus, qui, lundi 3 février avait provoqué 361 décès. Et, dans ces moments de crise, l’acteur et chanteur de Hong Kong, Jackie Chan, répond toujours présent.
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