L’année 2020 sera parmi les plus chaudes jamais constatées, selon une étude provisoire de l’Organisation météorologique mondiale. Les catastrophes climatiques se multiplient entraînant des conséquences désastreuses sur les populations partout dans le monde.
Organisée pour rehausser les engagements climatiques mondiaux, cinq ans après la signature de l’Accord de Paris, la réunion de plus de 70 chefs d’États n’a pas tenu ses promesses.
Une réforme du Code minier a été transmise lundi dernier, pour avis, au Conseil national de la transition écologique. Si les ONG constatent des avancées, elles considèrent qu’en l’état, le projet de loi prévu ne protège pas suffisamment l’environnement et les populations.
Dans une décision rendue jeudi 19 novembre, le juge administratif donne trois mois au gouvernement pour prouver qu’il respecte ses engagements en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Une décision historique.
Les 11 et 12 novembre, 453 banques publiques de développement se sont réunies pour décider de leurs investissements environnementaux futurs. Mais les défenseurs de l’environnement pointent leur manque d’engagements concrets.
Au Conseil d’État, le rapporteur public veut ordonner au gouvernement de réellement réduire ses émissions de gaz à effet de serre afin de respecter ses engagements climatiques. Un recours avait été déposé par la ville de Grande-Synthe, menacée de submersion par le réchauffement des températures.
Le candidat démocrate a proposé un plan environnemental à rebours du bilan de Donald Trump, catastrophique. Mais sans reprendre le Green New Deal de la gauche radicale.