Ce lundi, collégiens et lycéens reprennent les cours à distance. Les personnels du Centre national d’enseignement à distance (CNED), responsables de la « continuité pédagogique », dénoncent une surcharge de travail et une dégradation de leurs conditions d’exercice.
Contrairement aux affirmations du ministre, aucune attaque « venue de l’étranger » et dirigée contre les serveurs du CNED (enseignement à distance) n’avait été identifiée mardi, d’après des sources internes au Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale.
La mobilisation s’amplifie dans les établissements touchés par le Covid. Le personnel enseignant dépose de nombreux droits de retrait pour « danger imminent », jugés injustifiés par l’administration.
L’augmentation du nombre de cas est exponentielle dans les établissements scolaires, qu’il s’agisse d’élèves ou de personnels, parfois victimes de Covid grave. L’Éducation nationale refuse souvent de fermer les établissements. Mais partout, l’inquiétude gagne.
Fait rare, l’enquête publique qui s'est penchée sur le projet de Rockwool d'installer une usine de laine de roche, près de Soissons, a rendu un avis défavorable. Une réunion avec le conseil départemental est prévue mardi 23 mars.
Le rappeur évoque dans un entretien à Mediapart les raisons l’ayant poussé à engager des poursuites judiciaires contre la députée Aurore Bergé, qui l’a récemment qualifié de « rappeur islamiste ». « Elle me colle une idéologie qui n’est, bien sûr, pas la mienne. C’est la fois de trop. J’attends une condamnation et des excuses publiques », explique l’artiste.
Dans un jugement historique, la justice condamne l’État pour « la faute » qu’il a commise en échouant à réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Et se donne deux mois pour décider s’il faut enjoindre au gouvernement de réparer le préjudice écologique qu’il a commis.
Lors de l’audience qui s’est tenue jeudi 14 janvier, la rapporteure public a proposé à l’État d’indemniser d’un euro symbolique des associations de défense de l’environnement pour réparer la « carence fautive » liée à son inaction climatique.
Le texte révélé pour partie vendredi 8 janvier, issu de la Convention citoyenne pour le climat, s'avère très en deçà des ambitions de départ, plusieurs mesures phares ayant été détricotées. Il ne permettra probablement pas de remplir l’objectif initial d’une réduction des émissions de gaz à effet de serre de 40 % d’ici 2030.
Le chef de l’État s’est dit prêt à recourir au référendum pour réformer la Constitution et y inscrire la défense du climat. Hormis cet effet d’annonce, le projet de loi issu de la convention citoyenne pour le climat est très en deçà des ambitions initiales.