Karl Laske

J'ai rejoint Mediapart en mai 2011, après avoir été été journaliste à Libération de 1994 à 2011.
J'ai publié: Avec les compliments du Guide (avec Fabrice Arfi, Fayard, 2017), Les cartels du lait (avec Elsa Casalegno, Editions Don Quichotte, 2016), La Mémoire du plomb (Stock, 2012), Le Vrai Canard (avec Laurent Valdiguié, Stock, 2008, réédité en Points Seuil, 2010), Putsch au PS (collectif Victor Noir, Denoël, 2007), Machinations (avec Laurent Valdiguié, Denoël, 2006, réédité chez Pocket), Nicolas Sarkozy ou le destin de Brutus (collectif Victor Noir, Denoël, 2005), Des coffres si bien garnis, enquête sur les serviteurs de l'État-voyou (Denoël, 2004), Ils se croyaient intouchables (Albin Michel, 2000), Le banquier noir (Seuil, 1996).
Consulter ici ma déclaration d'intérêts.
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Castaner, à coups de com’ et de matraques
Christophe Castaner à la cérémonie organisée pour la nomination du préfet de Paris Didier Lallement, le 21 mars. © Reuters
Peu considéré dans la majorité et jusque dans les rangs du gouvernement, le ministre de l’intérieur assume, depuis le début, la répression du mouvement des « gilets jaunes ». Ce faisant, il applique surtout ce que les syndicats policiers lui demandent, et incarne le virage sécuritaire d’Emmanuel Macron.
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Eborgnements, tabassages, humiliations: les syndicats de police imposent l’omerta
En six mois d’affrontements, pas un syndicat de police représentatif n’a pris ses distances avec le maintien de l’ordre prôné par Christophe Castaner. Non seulement les lanceurs de balles de défense sont défendus et les violences policières légitimées, mais toute voix discordante est chassée, étouffée, poursuivie.
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Sur fond d’impunité, les unités «anticasseurs» de Castaner font de nombreux blessés à Paris
Une charge des CRS, à l'angle du quai de Jemmapes et de la rue du Faubourg-du-Temple. Au sol, Mélanie a reçu un coup de matraque sur la tête. © Gonzalo Fuentes Reuters
Dans un bilan rendu public vendredi, la coordination des « Street medics » présents à Paris le 20 avril indique avoir pris en charge 152 blessés. Plusieurs blessés graves ont chargé des avocats de déposer plainte.
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L’affaire Odebrecht au Pérou: suicide d’Alan García, quatrième président mis en cause
Alan García, l’ancien président, à la sortie d'une convocation des juges en mars 2018. © Reuters
Mercredi, l’ancien président Alan García s’est tiré une balle dans la tête à l’arrivée des policiers venus l’interpeller dans l’affaire des pots-de-vin versés par le groupe de construction brésilien Odebrecht. Avant lui, trois ex-présidents ont été mis en cause : Pedro Pablo Kuczynski, hospitalisé mardi ; Ollanta Humala, qui a purgé neuf mois de détention provisoire ; et Alejandro Toledo, sous le coup d’un mandat d’arrêt international.
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A l’heure des législatives indiennes, l’affaire des Rafale relancée
Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, au salon du Bourget en 2015. © Dassault
Mercredi, la Cour suprême indienne a annoncé qu’elle examinait la demande d’ouverture d’enquête sur le contrat Rafale conclu entre le gouvernement et Dassault Aviation. À Paris, l’ONG Sherpa a récemment transmis une note au Parquet national financier pour recenser les possibles « irrégularités » qui ont émaillé la signature de ce contrat. Au moment même où la France a effacé plus de 140 millions d’euros de dette fiscale de l’industriel indien Anil Ambani, partenaire de Dassault sur le contrat Rafale.
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En Colombie, le procureur général de nouveau mis en cause
Incarcéré depuis le mois de septembre dernier, l’avocat franco-colombien Alex Vernot a déposé plainte contre le procureur général Néstor Humberto Martínez pour « abus de pouvoir » devant la commission d’accusation de la chambre des représentants. Son avocat, William Bourdon, a saisi le rapporteur spécial des Nations unies sur la situation des défenseurs des droits de l’homme.
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Les victimes des tirs policiers face à l’impunité
Edouard Philippe au soir du 8 décembre 2018. © Services du Premier ministre
Les armes dites « sub-létales », LBD et grenades, employées aujourd’hui contre les « gilets jaunes » ont fait une cinquantaine de blessés graves en quinze ans. Les condamnations ont été rares et particulièrement clémentes pour les policiers. Seuls les tribunaux administratifs ont jusqu’à présent reconnu la responsabilité de l’État dans les blessures provoquées.
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La confession de Cesare Battisti face aux juges italiens
Cesare Battisti lors de sa remise aux autorités italiennes, en janvier 2019 © Reuters
Lors de ses auditions des 23 et 24 mars au centre pénitentiaire d’Oristano, l’ancien membre des Prolétaires armés pour le communisme est précisément revenu sur les attentats et les assassinats qu’il a commis à la fin des années 1970. « Les faits qui me concernent, reconstitués dans les sentences, et les noms des responsables correspondent à la vérité », a déclaré Cesare Battisti.
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Cesare Battisti se déclare «coupable» de quatre meurtres et s’excuse
Cesare Battisti lors de sa remise aux autorités italiennes, en janvier 2019. © Reuters
Trois mois après son interpellation en Bolivie et sa remise à l’Italie, l’ex-membre des Prolétaires armés pour le communisme (PAC), condamné pour quatre meurtres commis entre 1978 et 1979, a reconnu sa responsabilité lors d'auditions au centre pénitentiaire d’Oristano, en Sardaigne.
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A Paris, les «gilets jaunes» dans la rue malgré les menaces
Sur le boulevard de Strasbourg, à Paris, samedi 23 mars. © KL
Malgré les menaces à peine voilées d’utiliser la force létale contre les manifestants, les interdictions et les tentatives de confondre « casseurs » et « gilets jaunes », des milliers de gilets jaunes sont descendus dans la rue à Paris et en province samedi 23 mars.
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